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<h4>> [[ars_magica|Ars Magica]] > [[amannales_andalouses|Annales Andalouses]] > [[amresumes|Résumés]] > Séance du 12 octobre 2007 bis : Automne 1165 (suite)</h4>\\ ---- \\ <h1>Partie de chasse (suite)</h1>\\ <br>\\ <br>\\ < { [[amresume_20071012|Automne 1165 (1e partie)]]}\\ \\ <h2>15. La plainte du lévrier</h2>\\ Siméon avait assisté à la scène interdit. Il eut la présence d'esprit de remarquer que, de là où il était, Magued n'avait rien vu d'autre que le bond incroyable du bouquetin entre les deux sommets. Il vit dans le ciel une ombre familière : Ainhoa planait, aigle majestueux dominant la Sierra. Il tenta de la prévenir par la pensée. Deux mots seulement : « Bouquetin démoniaque ». Mais le Parma de la Bjornaer résista. Siméon était incapable de faire davantage. Il n'avait pas encore récupéré et le stress de la situation accentuait son souffle rauque.<br>\\ <br>\\ J'avais bondi sur la pente, la dévalant à une vitesse anormale, m'écorchant contre des cailloux pointus. Je me fichais de la douleur. Le Sultan allait arriver au bout et basculer dans le vide. Je vis alors le rocher qui se dressait tout au bord. Abi Nassif déboula dessus et s'y écrasa dans un craquement horrible. J'atterris deux secondes après à ses côtés : « Seigneur ? Seigneur Abi Nassif !!! » Son thorax était défoncé, son front ouvert et dégoulinant de sang, sa tête faisait un angle impossible avec le reste du corps et les membres semblaient comme désarticulés, emmêlés dans un enchevêtrement inhumain. J'avais cru, oui j'avais espéré qu'il ait survécu au choc, au craquement infligé par le démon. Je voyais son corps dévalait et je le disais vivant. J'allais le rattraper, entendre son souffle infime, voir ses yeux battre des paupières. J'allais le soigner, le porter au camp, demander à Aïello de le sauver. Et nous pourrions raconter cette chasse, régler les intrigues, poursuivre notre vie de mages en tentant de sauver l'Andalousie arabe. Mais Abi Nassif gisait entre mes bras comme un pantin cassé et jeté aux ordures. Son sang se mêlait à de la cervelle et à des tripes. La vie s'était enfuie. Notre Sultan était mort. Et avec sa disparition, je vis de terribles nuages s'amonceler sur l'avenir du covenant et de toute l'Andalousie. « Noooooooooooooooooooooooon ! » Je hurlai de désespoir et de rage. Ma vue se brouilla de larmes et je serrai contre moi le corps du Sultan défunt.<br>\\ <br>\\ Le bouquetin atterrit sur la pierre en la faisant exploser. Il rebondit aussitôt dans un saut hallucinant. À chaque contact de ses sabots avec la montagne, il provoquait une déflagration et repartait de plus belle, s'éloignant du lieu de son crime. Là-haut, l'aigle-Ainhoa diminua son altitude et se lança à sa poursuite.<br>\\ <br>\\ Le lévrier blanc nous avait rejoints. Il couinait, battant de la queue comme pour demander une place auprès de son maître. Je le vis poser sa tête contre le visage ensanglanté du Sultan. Il se mit à le lécher avec une tendresse infinie. Je sanglotai. Je sentis un frisson parcourir mes mains. Je tremblais. Un nouveau frisson... non... ce n'était pas moi... Je rouvris les yeux. Et ce que je vis me glaça. Le sang sur le visage d'Abi Nassif s'enfonçait dans la peau, disparaissant rapidement. Les os bougeaient en silence, reprenant une position normale. La tête se redressa, le front retrouva sa plénitude. Je sentis une aura nous entourer qui me dépassait. Ce n'était pas possible ! De la magie ? Non, cela dépassait la magie hermétique. Le chien continuait de lécher son maître, plus lentement, comme épuisé. Avant de tomber, inanimé. Je restai prostré durant une éternité. Puis un souffle profond souleva le buste du Sultan. Il ouvrit les yeux.\\ - (Korman, tendu à l'extrême) Qui... qui... êtes-vous ? » Abi Nassif semblait perdu. Ses yeux semblaient perdus dans le vide. Il regarda mes bras qui le tenaient toujours, hagard. Je le lâchai et me reculai vivement ! [[avais_-je|Avais-je]] en face de moi un corps possédé par le démon ?\\ - (Korman, d'une voix plus ferme) Qui êtes-vous ? Sultan... Sultan Abi Nassif... c'est vous ?\\ - (Abi Nassif, voyant son chien, le prenant délicatement dans les bras et me regardant) Euh... ben oui. » Sa voix était faible, il semblait surpris par ma question. Mes pensées étaient confuses. J'étais trop choqué pour réfléchir. Qu'avais-je en face de moi ? Le Sultan ressuscité ? Un corps possédé ? En dernier recours, je me fiai à mon instinct :\\ - (Korman) Sultan... levez-vous et venez avec moi. » Je vis ses bras intacts malgré ses vêtements déchiquetés. Il se releva, gardant contre lui son lévrier inerte dont le pelage était d'un blanc immaculé.\\ - (Abi Nassif) Mon chien est mort.\\ - (Korman, ému) Oui. Il est mort pour vous.\\ - (Abi Nassif) Oui. Je l'ai toujours su.\\ - (Korman) Su quoi ?\\ - (Abi Nassif) Qu'il me sauverait la vie.\\ - (Korman) Venez avec moi, Majesté. Il faut remonter la pente. Mais il faut aussi que je vous dise... ce qui s'est passé. » Et je l'aidai à remonter tout en lui racontant le combat final, en détails. Il n'y avait aucune raison de lui cacher la nature surnaturelle du bouquetin, après ce qui venait de se produire. J'ajoutai : « Il faut rentrer mais je puis vous assurer de ma totale discrétion. Ce qui s'est passé ici restera entre nous ! » Abi Nassif approuva. Je terminai par une question : « [[pardonnez_-moi|Pardonnez-moi]], Majesté, mais vu ce dont j'ai été témoin, je dois savoir : d'où vient votre chien ? Qui vous l'a donné ?\\ - (Abi Nassif, évasif) Saluki m'accompagne depuis bien avant la traversée. Il m'a trouvé dans le désert. » Je ne pus en tirer davantage. Nous venions de rejoindre Siméon. Le Criamon nous regardait, éberlué.\\ - (Siméon) Vous... êtes intact.\\ - (Abi Nassif) Vous m'avez vu tomber ?\\ - (Siméon) Un peu plus que tomber, oui !\\ - (Abi Nassif) Et le bouquetin ?\\ - (Siméon) Il a ricané, Majesté. Il a ricané avant de bondir de là (il désigna le sommet de la montagne) à là (il montra le pied de la crête où nous nous dirigions). Un être surnaturel.\\ - (Abi Nassif, approuvant) C'était une tentation.\\ - (Korman) Il a voulu... il vous a tué !\\ - (Abi Nassif) C'était le mal incarné. » Un cri nous fit nous retourner. Magued nous hélait depuis le sommet qu'il venait enfin d'atteindre. Avant qu'il nous rejoigne, je glissai au Sultan : « Majesté, vous pouvez compter sur notre totale discrétion. » Abi Nassif semblait n'en attendre pas moins de nous. Lorsque Magued parvint près de nous, il vit le lévrier mort et son visage afficha un profond regret.\\ - (Magued) Oh ! Père ! Je suis désolé. Vous l'aimiez tellement ! » Puis, nous redescendîmes vers le plateau.<br>\\ <br>\\ La chasse avait été fort bonne. Grâce aux manoeuvres de Saluki, les chasseurs avaient pu coincer plusieurs bouquetins et les abattre. Il y avait au moins 6 prises. Leur joie laissa place à la tristesse lorsqu'ils virent que le chien était mort. Ils exprimèrent également leurs regrets que le Sultan n'ait pu abattre le chef du troupeau. J'entamai alors un récit déformé et enjolivé du combat afin de capter leur attention et de veiller à ce qu'une seule et même version circule désormais sur la fin de la chasse. Les hommes écoutaient avec passion, excités par le défi qui nous avait opposés, Magued, Abi Nassif, Siméon et moi, tendus lors des passages sur les chutes, ébahis en entendant le combat de titans livré par le bouquetin et le Sultan au sommet de la montagne, avant que la formidable créature réussisse, dans une manoeuvre désespérée à déjouer l'habileté de son adversaire et à s'échapper en sautant par bonds aussi grands que majestueux. En soulignant la force et la puissance du bouquetin, j'augmentais le prestige du Sultan et atténuais sa défaite. Les chasseurs étaient ravis. Abi Nassif, lui, semblait soulagé : plus je les occupais, mieux il pouvait se retirer et se laisser accaparer par la peine née de son étrange renouveau.<br>\\ <br>\\ Les prises furent dépecées et nous prîmes le chemin du retour. Les hommes semblaient se rendre compte que le Sultan avait vécu quelque chose de spécial. Ils n'en disaient mot et se tournaient alors vers moi pour me féliciter de l'excellente organisation qui avait conduit à cette chasse mémorable. Je les remerciai de leur bonté et rappelai que seul, je n'aurais rien pu faire. Grâce à mes compagnons, à Abdel Kader et à nos servants, j'avais pu répondre à leurs attentes. Je me rendis cependant vite compte qu'à vouloir me montrer juste envers mes compères, je risquais d'enfreindre l'étiquette : mes hôtes comprenaient mes propos comme une invitation à devoir remercier davantage. Je m'arrêtai plus ou moins à temps et relançai les récits pour connaître le vécu des autres chasseurs. Je poursuivais mon rôle d'écran et devinais qu'Abi Nassif m'en était reconnaissant.<br>\\ <br>\\ Au fil des conversations, je glanai quelques bribes sur Saluki. J'avais bien senti que le Sultan avait perdu là un véritable compagnon. Idil me donna une première clé. Il raconta que bien des années auparavant, alors qu'Abi Nassif et lui étaient jeunes, ils avaient participé aux premières campagnes guerrières contre les Almoravides dans le Maghreb. Il y avait eu des victoires mais aussi des défaites. Après l'une d'entre celles-ci, les troupes almohades décidèrent de filer dans le désert pour semer leurs poursuivants. C'était une manoeuvre un peu désespérée. Ils pensaient sans doute pouvoir piéger ainsi une partie de l'armée adverse. Ils y perdirent beaucoup d'hommes. Abi Nassif lui-même réapparut avec le lévrier, racontant que l'animal l'avait trouvé alors qu'il allait mourir de soif, et l'avait conduit jusqu'à une oasis. Depuis, Abi Nassif et Saluki étaient devenus inséparables. Par la suite, l'animal se révéla extrêmement fidèle, d'une intelligence supérieure à toutes celles de son espèce, excellent gardien qui sauva d'ailleurs son maître de plusieurs tentatives de meurtres. Bref, Saluki avait acquis une réputation hors du commun pour un chien. Ces informations me préoccupaient car je me demandais sérieusement quelle était la nature du phénomène auquel j'avais assisté. Car en dépendait tout l'avenir de nos relations avec le pouvoir Almohade ! Siméon estimait qu'un démon était incapable d'un acte de sacrifice. Or, Saluki s'était bien donné la mort pour permettre au Sultan de revivre. Il penchait donc pour une intervention divine. Quant au pourquoi d'une telle intervention, le mystère était total. Abi Nassif était-il une sorte d'élu ? Un homme chargé d'accomplir le dessein d'Allah ? Ou bien était-il l'instrument des anges ? Je me demandai si le monde des anges, pour autant qu'il y en ait un à l'instar d'un monde des démons, était uni ou aussi parcouru de tensions. En fait, je me rendais compte que le divin touchait les trois religions monothéistes et l'on voyait des hommes de grande foi d'un côté et de l'autre du front. Bouktir en était un exemple. Je me demandai si les anges poussaient les hommes à la guerre sainte, au nom d'une rivalité propre à eux. Mais dans ce cas, quelle était la différence avec les démons ? Était-ce une question d'objectif final ? Pourtant, le résultat était le même ! Il y avait des monceaux de cadavres dans les deux cas ! À moins que le message divin ne soit pas bien compris. Que des hommes de grande foi se retrouvaient un peu partout mais soit n'étaient pas écoutés, soit se trompaient d'objectif tout en ayant une foi très forte ? Mais alors, quelle était l'essence de la foi ? [[tenait_-elle|Tenait-elle]] en ce que les actes posés étaient justes et considérés comme tels par les autres, ou simplement dans la conviction de celui qui les posait d'agir justement ? Un bourreau convaincu d'agir au nom de la Vérité de Dieu était-il aussi homme de foi qu'un autre sauvant des vies au quotidien ? Toutes ces questions tournaient dans mon esprit, se mêlaient aux enjeux politiques qui s'esquissaient devant nous, aux intrigues qui devaient encore être résolues,... bref, j'étais complètement déboussolé !<br>\\ <br>\\ <h2>16. Lectures et enterrement</h2>\\ Le repas du soir s'annonçait excellent. Mais les Almohades hésitaient. Autant ils voulaient festoyer pour conclure une magnifique chasse tout faisant honneur à ceux qui l'avait organisée, autant ils ne voulaient pas manquer envers le Sultan qui semblait déprimé. Abi Nassif m'exprima le désir d'enterrer son chien. Je lui dis que nous disposions d'un cimetière. À moins de vouloir l'enterrer dans la montagne, et je pouvais lui envoyer un homme de foi pour consacrer la terre. Il me répondit que là où Saluki serait enterré, la terre serait consacrée. Il me demanda alors d'avancer le début de la fête. J'obtempérai et Abi Nassif annonça à tous les chasseurs qu'il allait se retirer pour la soirée. Il ajouta : « Mais profitez de ce repas pour vous réjouir et offrez un banquet en l'honneur de nos hôtes et de Korman ! Merci à eux pour leur travail et ce magnifique résultat ! » Les hommes ne se firent pas prier deux fois. Le repas démarra et, sous les étoiles qui constellaient la voûte céleste, les feux montèrent plus haut que jamais, éclairant des mines réjouies et des coeurs en liesse.<br>\\ <br>\\ Loin du camp, en toute discrétion, deux hommes grimpaient en silence. L'un d'eux tenait un chien, le serrant avec douceur. Ils parcoururent des étendues d'herbe rase et arrivèrent au sommet d'une hauteur où trônait un rocher aux contours tendres. La lune baignait les lieux d'une clarté à la fois paisible et un peu irréelle. Abi Nassif désigna le pied du rocher. « Là. » Antoine s'exécuta, creusant à la main pour offrir une sépulture à Saluki. Abi Nassif serra une dernière fois son compagnon, puis il le déposa au fond. Il jeta un peu de terre et laissa Antoine recouvrir le corps. Le mage se releva enfin et attendit, profitant du moment pour repérer les lieux. Le Sultan se recueillait. Au bout de quelques instants, il ramassa quelques pierres, les déposa sur le monticule puis se tourna vers Antoine : « Merci. » Ils s'en retournèrent sans ajouter un mot. La lune caressait le tombeau de ses pâles rayons.<br>\\ <br>\\ Des chants, des rires, de la bonne chère. L'occasion était idéale pour Siméon. Il alla aborder l'esprit de Barbas. Bien que ce travail le rebute un peu, il y plongea comme on feuillette un livre. Il apprit que Barbas, jeune chef guerrier, avait fait des années de campagnes et était complètement dévoué à Abi Nassif. Il était frustré de devoir servir Rassan, le gouverneur corrompu de Motril. Ancien amiral de la flotte almohade, il avait été détaché là pour faire contrepoids au gouverneur. Barbas était donc embêté : loin du pont des navires, aux côtés d'un homme qu'il méprisait, il savait qu'il devait tenir car il était l'homme de confiance du Sultan. Abi Nassif ne s'occupait pas des problèmes de gestion : il voulait que la Sharia soit appliquée et Barbas était chargé d'assurer les arrières. Mais quand même... Quant aux arbalètes, il les considérait comme d'excellentes armes. Le problème était que : 1° il fallait payer pour cela les marchands, véritables rapaces ; 2° les armes étaient achetées à l'ennemi ! C'en était trop ! Certes, cela le confirmait en ce que ces ennemis avaient une certaine valeur. Mais bon ! La proposition de Nitran était inacceptable.<br>\\ <br>\\ Idil, lui, était le mentor d'Abi Nassif. Il pensait que ce dernier était devenu ce qu'il était grâce à lui. Pour les arbalètes, il n'était pas convaincu. Il situait l'avantage de l'armée almohade dans sa force morale : les hommes se battaient pour un objectif connu. Et dans sa force de frappe rapide. Les arbalètes avaient sans doute une percussion très supérieure aux arcs, mais elles étaient plus lourdes et plus chères. Idil pouvait acquérir 2,3 ou 4 arcs pour le prix d'une arbalète ! Bien sûr, la nouvelle arme avait des avantages, dont celui d'être maîtrisé plus vite par les simples soldats. Mais cela ne suffisait pas. Idil était un homme intègre. La question que le taraudait était de savoir s'il devait mourir en terre conquise, l'arme à la main ou retourner au Maghreb, dans la paix d'Allah ? Idil ne voulait pas se montrer ingrat envers la vie, lui qui avait survécu jusque là et atteint le sommet de la hiérarchie militaire. Siméon chercha un point faible à exploiter. Il ne trouva que de vagues culpabilités liées à des erreurs d'interprétation sur des champs de bataille, erreurs qui avaient coûté des vies de soldats. Le vieux général se demandait s'il n'avait pas trahi la confiance de son maître, le Sultan. Mais cela s'arrêtait là. Siméon restait sur sa faim mais il se retira.\\ <br>\\ <br>\\ La nuit avait enveloppé la montagne. Les hommes étaient allés se coucher. Les mages d'Aquae, eux, avaient du pain sur la planche. Rassemblés dans la tente d'Aïello, nous contemplions l'effrayant objet qui était exposé sur la table posée au centre d'un cercle. Une énorme tête de bouquetin, aux cornes noircies, déposée au centre d'un cercle de protection contre les démons. Ainhoa était là, bien portante. Elle racontait la poursuite et le combat qui avait été assez rude. Elle décrivait cela à sa manière habituelle : en quelques mots, forçant ses interlocuteurs à faire un gros travail d'imagination pour se représenter le tout ! Ni elle ni personne dans la tente ne savait si le démon était vraiment mort, ni si le cercle de protection était efficace. Antoine et Siméon convoitaient le vis que devait contenir la grosse tête cadavérique. Mais Aïello pensait que c'était là une très mauvaise idée. J'étais d'accord avec elle. Mieux valait résoudre les problèmes l'un après l'autre :\\ - que faire avec cette tête ? Comment savoir ce qu'il était advenu au démon ?\\ - que visait la créature ? Nuire aux Almohades et à Abi Nassif en particulier ? Nous mettre dedans dans la continuité des multiples attaques passées ? Les deux ?\\ - comment faire cesser ces attaques démoniaques ? Une fois pour toutes...\\ - Abi Nassif, un être de divin ? Quelle attitude adopter ? Nous avions acquis quelques gros avantages par rapport à lui, mais étaient-ils encore valables ?\\ - Comment résoudre l'histoire du meurtre de Hiram ? Laisser ça au Sultan ou s'assurer qu'il n'y aura pas de représailles ? Voyant que Hiram était toujours vivant, les comploteurs, Magued ou Fafr en particulier, ne risquaient-ils pas d'entrer en action ?\\ - Et le marché des arbalètes ? Comment exploiter l'opportunité qui s'offrait à nous ?\\ - Au fond, ne valait-il pas mieux rassembler tous les mages, au plus vite, pour en discuter, au risque d'assister à une joute entre Siméon et Anne ?\\ - Et Shirine dans tout ça ?\\ Brrr ! J'étais épuisé rien que d'y penser !\\ <br>\\ <br>\\ { [[amresume_20071214|Suite à la prochaine séance]]}
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