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<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   C’est une sacrées expérience de se
retrouver dans la peau d’un homme chacal.  Je n’aurais jamais cru cela
possible.  Si je devais comparer l’impression que j’ai eue avant de prendre
possession du corps, je dirais que&nbsp;: «&nbsp; c’est comme voler au-dessus
de la canopée alors que le soleil te caresse la peau&nbsp;».</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Donc me voilà comme un gros balourd sans
aile, et vous savez quoi&nbsp;: «&nbsp;ça me manque le vol&nbsp;».  Je suis Gakam
le beastmaster.  Je sentais la magie couler dans mes veines.  C’est
enivrant&nbsp;!!! Il est des évidences qui se révèlent à moi.  Je fais partis
du groupe «&nbsp;les éveilleurs d’empires&nbsp;» qui est à la recherche de la
pyramide qui coule.  Bala Gi incarne Talep Koupek le sorcier, Djoango devient
Puor Kemm le forgeron, Ibis est Sfi-Tek l’illusionniste.</span></p>

<h1> Anthon Crasus              </h1>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>  Alors que j’arrive, mes amis s’apprête à
rejoindre en compagnie d’Azaris&nbsp;: Anthon Crasus, l’homme rouge.  Azaris
nous introduit dans la demeure, l’homme beigne dans un bain d’infusion de pavot,
deux servantes l’aèrent à l’aide d’immense épouvantail. Cela le maintien en vie
contre toute attente. Je dois dire que la vision est assez inhumaine, il n’a plus
une seule parcelle de peau. Sfi-tek ne supporte pas la réalité et tourne de
l’œil, rapidement soutenu il ne se vautre pas.  </span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   C’est un homme serein qui nous
accueille, loin de toute douleur que son état justifierait. Après que l’on se
soit présenté, il s’enquière de nos buts.</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Nous sommes à la recherche de la
pyramide qui coule. Dis-je</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Azaris en profite alors pour proposer un
partenariat.  Il sait que la fortune déjà engagée est importante et qu’il y a
encore moyen de grappiller plus.  L’accord est vite trouvé,  nous avons une
préemption sur les objets à trame dans une répartition en tierce.  L’information
qu’il a en sa possession est que l’obélisque comprend des inscriptions
indiquant la place de la pyramide noyée.</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Donc nous voilà lancer dans une
discussion pour le comment et quoi faire face au vent du défilé.  Les
propositions les plus absurdes sont lancées comme avoir un elémentaliste de
Haut niveau ou créer une tortue. Enfin pas si bête que ça la tortue une fois que
j’ai compris qu’il ne parlait pas de l’animal.  Donc nous voilà avec le dernier
problème sur les bras, la plupart des écritures sont devenues illisible sous
l’effet des tourbillons.  Ah oui, s’ensuit une discussion sur la nature des vents
qui balaye initiée par Talep Koupek.  Cela m’a fatigué&nbsp;!!!</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Donc on se creuse les méninges pour
trouver une solution à l’écriture. Azaris, qui est un homme plein de ressource,
nous raconte la légende de <span class=apple-style-span>Tanita-Taït</span>. 
Les questeurs de Noût recherchait depuis longtemps quelqu’un qui pourrait
reconstituer leur parchemin perdu lors de la crue qui inonda leur temple et
rendis illisible la plupart.  Ils tombèrent sur une jeune fille aveugle qui
avait le don de lire les écrits perdus grâce à son toucher.  Ils l’enlevèrent et
elle fut emmenée dans leur nouveau temple situé en plein milieu du désert.  Le
temple a été construit non loin de la <span class=apple-style-span>Nécropoles
de Karmel Al Kak.  Nous nous décidons que cette piste reste la meilleure.  </span></span></p>

<p class=MsoNormal><span class=apple-style-span><span style='font-size:9.0pt;
line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>   Avant de
partir, Talep Koupek décide de tester sur une pauvre chèvre l’effet du vent. 
Elle est attachée dans le défilé.  On attendra 3 jours pour que le vent se
lève.  Il fait les constatations d’usage qu’il désirait.  Tous les membres de
la pauvre bête devenue aveugle ont disparu.  Plus aucune chair sur le crâne
nous fait achever cette bête agonisante.</span></span></p>

<h1><span class=apple-style-span>Nécropoles de Karmel Al Kak</span></h1>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Toupek décide de rester auprès de
l’homme rouge alors que Minik le voleur nous rejoints en compagnie du gardien
des sables Isopetack.  Sur ces entrefaites, Pu Or décide d’aider à la
construction de la tortue.</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>  L’ordre de départ est donné par <span
class=apple-style-span>Oussaïd qu’Azaris a chargé de nous guider vers Karmel Al
Kak.  Le voyage se passe sans problème.  A notre arrivée à la nécropole ce qui
nous frappe, c’est une ambiance bonne enfant et généreuse malgré la réputation
de coupe gorge que nous en a tiré notre guide.  C’est effectivement des mines
patibulaires qui nous entourent et cela va dans le sens de ses dires.</span></span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   C’est <span class=apple-style-span>Torg
Jambes Courtes qui nous accueille dans le camp.  Il est fidèle à la description
qui m’en a été faite.  C’est un ork de belle race, loin d’avoir des courtes
jambes.  Les règles qu’il expose sont simples, on s’occupe de ses problèmes et
surtout pas de ceux des autres, encore moins du temple de Noût. Le coucher nous
est fourni tant que l’on paye la taxe de feu.  On s’enquière l’emplacement de
nos amis les «&nbsp;cavaliers&nbsp;». Il laisse entendre quelque grivoiserie
sur Jument qui tombe à plat.   Ensuite, il interpelle un garnement pour nous
guider,  n’oubliant pas d’imposer un prix exorbitant. Il est sûr que le
garnement connaît son affaire.  Il nous guide dans cet enchevêtrement de tentes
et de feux jusqu’à une tente cossue avec beaucoup d’anecdote sur la faune de
l’endroit.</span></span></p>

<p class=MsoNormal><span class=apple-style-span><span style='font-size:9.0pt;
line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>   Notre
regard est directement attiré par une cloche que s’empresse de faire tinter </span></span><span
style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";
color:black'>Isopetack<span class=apple-style-span>.  Des voix se font entendre
à l’intérieure de la tente.  On se présente et la fameuse «&nbsp;jument&nbsp;»
s’appelle en réalité Junia et son compagnon cul-de-jatte Shagan.  Surnom
qu’elle apprécie peu en réalité.  On en vient assez rapidement au temple de
Noût.  Un pacte de sang les empêchant de s’introduire dans le temple, ils sont
heureux de nous assister contre monnaie sonnante et trébuchante à condition
aussi que l’on essaie de leur ramener quelques souvenirs du temple. Ils ont
bien essayé de savoir quel était notre but dans cette affaire mais aucun mot
n’a été lâché.  Les informations sont précises, on sent le coup préparer, une
description précise des difficultés et des occupants.  L’entrée dérobée protégée
par une illusion, les babouins qui occupent la fosse autours du cube de la
grande prêtresse.  L’entrevue se termine sur une mise en garde étrange, ne pas
venir roder autour de la tente …</span></span></p>

<p class=MsoNormal><span class=apple-style-span><span style='font-size:9.0pt;
line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>   Un écueil
de taille sous la forme d’une compagnie d’une vingtaine de therans ayant pris
camp dans le temple.  Leur intention est obscure bien que la seule chose qui
pourrait les intéresser est La prêtresse.</span></span></p>

<p class=MsoNormal><span class=apple-style-span><span style='font-size:9.0pt;
line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>   Comme on
dit, il devait arriver ce qui devait arriver …  Une envie irrépressible d’aller
hurler à la lune devant la tente de Junia.  Mon âme hurlait mon envie de marquer
mon territoire autour de cette tente.  Je n’étais pas seul, il y avait tous mes
compagnons, quelques orcs ainsi qu’un petit nombre d’humain.  Shagan mis fin à
cela, nous hurlant de rentrer chez nous.</span></span></p>

<h1><span class=apple-style-span>Le temple de Noût</span></h1>

<p class=MsoNormal><span class=apple-style-span><span style='font-size:9.0pt;
line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>   Nous avions
décidé d’agir au plus vite pour couper l’herbe sous les pieds des therans comme
nous ne connaissions pas leur but réel.  Les Ouaboux étant des oiseaux de nuit
on se décide d’intervenir le lendemain matin.  C’est une junia et un Shagan
goguenards qui nous interpelle dans nos préparatifs avec en mains des pelles, des
seaux et des bures.   Ils nous disent qu’une bonne façon d’approcher le temple
est de se faire passer pour des chercheurs de cristaux de nuit.  Ces cristaux
sont une manne  au vu de leur utilisation dans les charmes de sang et leurs
raretés.</span></span></p>

<p class=MsoNormal><span class=apple-style-span><span style='font-size:9.0pt;
line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>   Le temple
est une bâtisse carrée au dôme de terre élémentaire. Pieds de nez de
l’architecte certainement, l’entrée fait face au lever du soleil.  L’entrée
dérobée est du côté de l’ombre éternelle.  C’est là où nous nous rendons, deux
chercheurs de pierres de nuits occupent la place. </span></span><span
style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";
color:black'>Isopetack intimide le premier et le second part sans demander son
reste quand on s’intéresse à lui.  C’est l’œil exercé de Sfi-Tek qui découvre
le premier cette porte et je fais de même peu de temps après.  Nous tuons le
temps à rechercher des cristaux pendant qu’Isopetack  peine à dissiper l’illusion.</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Quand il y arrive, il se met
immédiatement au travail.  La serrure, malgré son apparence frustre,  devait
être complexe car on le vit sué à grande eau dessus et du s’y reprendre à
plusieurs reprises.  Il se colle aussi à une petite exploration de l’étage. 
Bien nous en a pris car un Troll monte la garde devant le tube de cuivre qui 
permet d’accéder au cube de marbre noir.  On se décide pour attirer le garde
theran en bas des escaliers.  Je m’y colle et Sfi-Tek use de ses illusions pour
parfaire mon apparence de garde theran.  Je me rue dans l’escalier interpellant
le troll sur la porte ouverte.  Il tique mais je maintiens la pression et il
finit par descendre me précédant. Arrivé en bas des escaliers, je lui saute
violement sur le dos.  Le coup est tel, qu’il tombe au sol le dos lacérer
inconscient ou mort. </span></p>

<p class=MsoNormal><span class=apple-style-span><span style='font-size:9.0pt;
line-height:115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>   La fosse ne
contient que des petits ouistitis,  bizarre que Shagan ai été si mal informé
sur ce que contenait la fosse.  Rapidement pendant que je tente lamentablement
de calmer les ouistitis, </span></span><span style='font-size:9.0pt;line-height:
115%;font-family:"Verdana","sans-serif";color:black'>Sfi-Tek confirme
l’illusion et que se sont bien des babouins qui occupent celle-ci.  Isopetetack
se colle à descendre dans le tube à l’aide du chariot à vivre.  Il dira avoir
percuté une grille empêchant les singes d’entré dans le cube.  Ce vacarme excite
de plus belle ces braves bêtes.  Sfi-Tek le suis de prêt.  Un terrible combat
s’ensuit où je me retrouve projeter dans la fosse.  L’une des blessures fut
grave et l’autre me mis dans l’inconscience.  Sans l’aide de Sfi-Tek et
d’Isopetack, je me serai retrouvé mal en point et abandonné.  Le temps que je remonte
isotepack est en haut portant la prêtresse Tanita-Taït ligotée et bâillonnée. 
En haut, Sfi-Tek récupère un sac qu’il a dû prendre dans le cube.  Un singe
ayant élu domicile au pied des escaliers Isotepack a l’idée de l’occupé avec de
la nourriture comme il l’a fait pour les singe dans la fosse ce qui nous permet
de rejoindre la porte et de sortie.  C’est cet instant que 3 ouaboux
choisissent pour apparaître par une porte annexe.  Alors que l’un deux part
pour avertir ses condisciples, les deux autres nous prennent en chasse. 
Sfi-Tek a du mal de prendre de la distance,  Puor Kemm profite de l’avance
qu’il a prise pour blesser à l’arc nos poursuivants.  Cela nous permet de
rejoindre les cavaliers et nous prenons la direction d’Al-Baren.   En cours de
route, nous nous séparons des Cavaliers sans oublier de leurs remettre le sac
plein de parchemin.</span></p>

<h1>Retour à Al-Baren</h1>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Le retour à Al-baren ne sera pas de tout
repos,  entre les exigences de Tanita-Taït et ses récriminations incessantes. 
On arrive à un consensus en lui fournissant un cercueil et des bandelettes. 
Elle a effectivement la peau très laiteuse et le soleil pourrait faire pas mal
de dégâts dessus.</span></p>

<h1>La prêtresse et la tortue</h1>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   A notre arrivée, la tortue est finie. 
Isopetack insiste pour qu’elle soit essayée avant.  Pour ma part, je suis
plutôt partisan d’y aller tout de suite d’autant que la tempête a cessé dès
l’instant où on est arrivée à Al-Baren. Et celle-ci a été étrangement active
avant notre arrivée comme si elle sentait quelque chose.  Tous ceci confirmant
l’intelligence derrière ces phénomènes.  C’est sans délai que l’on se lance
dans le défilé.  Le vent ne dépassant plus la brise, on arrive sans soucis à
l’obélisque. C’est elle aussi qui nous apprend que le vent lui parle et nous
menace.</span></p>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   La lecture du monolithe use sa
sensibilité, elle n’est pas habituée à la rugosité de la pierre.  Elle demande
après avoir passé une bonne partie de l’après-midi.  Fatigué par la journée
nous finissons par nous endormir pour être réveiller dans le courant de la nuit
par une étrange mélopée.  A la sortie de la tortue, nous assistons à un
spectacle d’une beauté aérienne.  La prêtresse a entamé une danse au clair de
lune d’une sensualité exacerbée.  Sous regard concupiscent de l’assistance,  la
danse hypnotique va continuer une bonne heure encore avant qu’elle ne rentre
sous la protection bienveillante de la tortue.  Nous essayerons bien de
l’interroger sur le phénomène de la nuit sans succès, en tous cas c’est une
autre femme que l’on a le matin.  Elle s’y prendra encore a 2 fois avant de
terminer.</span></p>

<h1>La montagne au papillon&nbsp;</h1>

<p class=MsoNormal><span style='font-size:9.0pt;line-height:115%;font-family:
"Verdana","sans-serif";color:black'>   Tanita-Taït confirme le fait qu’elle a
changé en affirmant savoir que les ouaboux lui ont mentis.  Elle veut aussi
nous accompagnée dans notre quête.  La seule information qu’elle nous fournis
est la prochaine étape de notre itinéraire, la montagne au papillon, donc
direction <span class=apple-style-span>Bark El Sheim</span><span
class=apple-converted-space>.</span></span></p>